20 juillet 2009

La fois où la vraie vie gagnait.

J'ai le goût d'écrire des choses de la vraie vie avec des mots qui sortiraient spontanément de ma bouche. Faque pour cette fois-ci, j'informe les Internets qu'il reste à peu près cent quinze heures avant que je sois en vacances. Je compte les heures parce qu'après chacune, je peux me dire «une de moins» et ça vient plus vite que les journées complètes. Dans ma tête, j'occupe mes mains à dessiner des corps trop souples moulés dans des costumes colorés. Si j'étais pas déjà grande, j'aurais acheté un trucmuche qui dit «when I grow up I'll run away and join the circus» ou quelque chose comme ça; on comprend l'idée.

Mais je suis fatiguée au point de me coucher tôt [c'est tout dire].

Je commence même à avoir hâte de faire des boîtes et du ménage [c'est vraiment tout dire], mais pas autant que d'avoir des photos de soleil et de dessins dans le sable à partager.

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