Je suis tellement pas dedans! Je viens juste de réaliser que le Salon du livre de Montréal, c'est ce weekend. Je sais même pas pourquoi j'aime ça aller là-bas, y'a trop de monde, y'a des familles avec beaucoup d'enfants, je suis trop gênée pour parler aux auteurs et je suis trop pauvre pour acheter tous les livres que je veux.
L'an dernier j'y suis allée avec Audrey, on a pointé des gens du doigt plus ou moins poliment et on a eu du mal à trouver une table pour manger notre lunch acheté trop cher. On a vu France Beaudoin avec ses enfants et une très longue file pour voir Jacques Parizeau.
Là, en plus, j'ai congé dimanche. QUE FAIRE? (Audrey, qu'est-ce que tu fais dimanche? lolzi)
Et vous, Internets, allez vous au Salon du livre ce weekend?
OK BYE!
Signé: La fille pas à son affaire
4 commentaires:
Je viens moi aussi de l'apprendre ce soir ! Pour une fois, je ne joue PAS à D&D ce dimanche, alors je suis LIBRE. haha, l'année dernière = plein de succès = bonnes raisons pour y retourner, hahahaha. Mais, ouais, on pourrait y aller, ça te tente-tu pour vrai ? DIS-MOI.
okbye!
On est donc ben n00b, pour des filles qui aiment pourtant bien les bouquins! Le pire c'est que j'avais totalement pensé à D&D haha pis j'étais prête à partir quand même tôt pour revenir à temps pour que tu joues. Parle-moi de considération pour ta vie de semi-elfe, HEIN! Mais oui, ça me tente pour vrai! On pourrait pointer plein de monde différent, OUH. On s'en reparle ailleurs que dans mes commentaires de blogue OK BYE!
Ne sois pas gênée, voyons! Les auteurs, au Salon, on meurt d'envie de parler à du monde! On passe devant le kiosque de Marie Laberge, on découvre une file d'attente d'un kilomètre de long pour finalement se poser à notre table avec cette peur bleue de ne pas avoir UN SEUL visiteur!
C'est effrayant, le Salon du livre. Moi, j'ai été chanceux. Comme je suis un très jeune auteur, j'ai suscité assez de curiosité pour avoir une vingtaine de visites en deux séances d'une heure. Cela dit, certains de mes collègues n'ont pas eu cette chance et ils ont passé un trèèèès long moment.
Morale de l'histoire: l'an prochain, vas-y, pis parle à tout l'monde!
Ha, je suis pas juste gênée de parler aux auteurs, je suis gênée de parler aux gens dans la file d'attente à l'épicerie aussi. Mais j'ai été pas pire, j'ai fait dédicacer les deux bandes-dessinées québécoises que j'ai achetées et j'ai même dit pas mal de mots à Yves Pelletier!
Je me demande comment elle trouve ça, le Salon du Livre, Marie Laberge. La file pour Janine Sutto était pas pire aussi.
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